Discographie Archives - Le site de Virginie Constant https://www.virginieconstant.fr/category/discographie/ Le site de Virginie Constant Thu, 10 Sep 2020 23:43:55 +0000 fr-FR hourly 1 Schubert – Notturno https://www.virginieconstant.fr/schubert-notturno/ https://www.virginieconstant.fr/schubert-notturno/#respond Tue, 20 Feb 2018 15:18:06 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=835 L’article Schubert – Notturno est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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« Le Trio Elégiaque (…) nous propose aujourd’hui son Schubert, si allant et pourtant si détaillé, sans pathos, joué comme du Mozart, comme du Mozart touchant au cœur. (…) Le Notturno, qui nomme l’album, n’aura jamais été si bien joué, grand lied de ténèbres d’une poésie envoûtante.  »  Jean-Charles Hoffelé – 10 février 2018 – Artamag’

Trio No. 1, Op. 99, D. 898
Notturno pour violon, violoncelle et piano, Op. 148, D. 897
Sonatensatz for violon, violoncelle et piano, D. 28
Trio No. 2, Op. 100, D. 929

Trio Elégiaque – Virginie Constant, violoncelle, Philippe Aïche, violon, François Dumont, piano

2 CD Academy Production. Enregistré à la salle Schnabel de l’Académie internationale de piano du lac de Côme, Italie, les 12 et 14 janvier 2016. Notice trilingue anglais, français allemand. Durée totale : 109:58

 » Radieux trio de Schubert

Après l’avoir jouée en concert pendant plusieurs mois, le Trio Elégiaque donne sa version de l’œuvre pour trio avec piano de Schubert, les célèbres opus 99 et 100, avec le fameux Notturno op.148 et le moins connu Sonatensatz D. 28.

On connaît l’immense admiration que Schubert portait à Beethoven, au point de porter de son cercueil lors des obsèques en 1827. Comme bloqué par la notoriété de son aîné, Schubert était alors surtout connu à Vienne pour ses Lieder, Ländler, valses et pièces à quatre main, alors que sa Neuvième Symphonie, qui ne fut créée qu’en 1839 par Mendelssohn à Leipzig, avait été refusée à Vienne, considérée comme « trop difficile ». En 1827, il décida de produire des œuvres significatives, et sa dernière année de vie fut émaillée d’une impressionnante série de chef-d’œuvres, dont les trois dernières sonates pour piano, le Quintette à deux violoncelles et les deux Trios avec piano. Depuis le TrioArchiduc de Beethoven en 1814, il n’y avait pas eu d’œuvre de cette ampleur pour cette formation. Le violoniste Ignaz Schuppanzigh et le violoncelliste Josef Linke, qui créèrent le Trio en si bémol majeur op. 99 le 28 janvier 1828, puis le Trio en mi bémol majeur op. 100 le 26 mars 1828, avaient également créé l’œuvre de Beethoven avec ce dernier au piano. La partie de piano, d’une difficulté extrême, était confiée à Carl Maria Bocklet, également admiré par Beethoven. Schumann prisait le Trio en si bémol pour sa radieuse fraîcheur et considérait que l’opus 100 était plus viril et dramatique que le premier.

Avec un superbe cycle Beethoven (Brilliant Classic), puis une passionnante exploration du côté de Napoléon Henri Reber (Timpani), le Trio Elégiaque, où Philippe Aïche a succédé à Laurent Le Flecher au violon, se devait de graver le corpus schubertien. Face à une discographie très fournie depuis les Trio Bush, Thibaud-Cortot-Casals, aux frères Capuçon avec Franck Braley (Virgin Classic) ou Andreas Staier avec Daniel Sepec et Roel Dieltiens sur instruments anciens (Harmonia Mundi), en passant par le Beaux-Arts Trio, les Wanderer ou encore Immerseel, Beths et Bylsma (Sony), le Trio Élégiaque ne démérite nullement, grâce à des sonorités transparentes, des lignes claires et une grande souplesse dans la virtuosité expressive et rythmique.

François Dumont, Philippe Aïche et Virginie Constant montrent une belle énergie dès le début du Trio en si bémol, et s’abandonnent à des accents de tendresse dans l’andante, même si l’on regrette une prise de son un peu lointaine, mettant le piano au premier plan.

Ils font merveille dans le Deuxième trio, où la belle éloquence du piano répond à la cohérence des cordes dans une clarté presque joyeuse. Leur lecture du célèbre andante nous tient en haleine, tandis que le scherzo développe des formes épurées, avant qu’ils ne s’épanouissent dans la vaste architecture du finale où revient le thème de l’andante.

Le magnifique Notturno, qui fut le mouvement lent originel du Trio en si bémol nous élève vers la méditation et la sérénité, alors que le superbe Sonatensatz D. 28, que Schubert composa à l’âge de 15 ans, encore pétri de l’esprit de Haydn, exhale une atmosphère radieuse.

Ce disque hautement recommandable trouvera sa place parmi une abondante discographie. »

http://www.resmusica.com/2018/04/25/radieux-trios-de-schubert-par-le-trio-elegiaque/

« Après avoir enregistré l’intégrale des Trios de Beethoven), le Trio Elégiaque, poursuit sa conquête des sommets classiques et romantiques avec cette intégrale Schubert, qui témoigne au plus haut point de l’art de faire de la musique de chambre aujourd’hui. Avec leur souci de transparence du texte et une grande souplesse dans la virtuosité tant qu’expressive et rythmique, les trois musiciens français ont trouvé un son d’une profondeur envoûtante, révélant au plus près la vie intérieure propre au monde hallucinatoire de Schubert.
Beethoven meurt à Vienne en 1827. Franz Schubert, son fervent admirateur, porte son cercueil lors des funérailles. Il semblerait que Beethoven ait pu réellement entendre quelques Lieder de Schubert et en fut émerveillé ; Schubert comprit rapidement qu’il devait saisir l’occasion de prendre la place laissée vacante par son aîné, universellement admiré et estimé. Il n’avait selon lui encore produit aucune œuvre de grande envergure réellement satisfaisante – bien que la Symphonie en ut majeur fût composée en 1826 – et décida donc que le genre du lied ne constituerait plus le cœur de son catalogue ; il devait maintenant se consacrer uniquement à la composition d’œuvres de grande dimension. Il le fit donc. En 1827, des éditeurs commencèrent, un peu partout en Europe, à s’intéresser aux œuvres de Schubert. L’un d’entre eux – un certain Probst, originaire de Leipzig – souhaitait publier certaines des toute récentes et importantes œuvres du jeune compositeur. Bien qu’il assurât dans un premier temps le compositeur de sa générosité pour l’exploitation de ces nouvelles œuvres, il offrit en définitive à Schubert une somme misérable (21 florins et 60 kreutzers) pour le Trio en mi bémol majeur, qu’il publia seulement quelques mois avant la mort de Schubert…


 Les deux Trios pour piano, violon et violoncelle D. 928 et 929 de Schubert ainsi que le Notturno D. 897 ne manquent pas de références, mais le Trio Elégiaque  constitué du violoniste Philippe Aïche, de la violoncelliste Virginie Constant et du pianiste François Dumont, prend place parmi les meilleurs interprètes de ces œuvres vibrantes écrites dans l’urgence d’une vie en sursis. Les musiciens, avec justesse d’expression et style, privilégient la douleur contenue avec un naturel qui sonde les profondeurs de l’âme sans jamais surligner le trait. Une interprétation qui parvient à traduire la quintessence de l’art schubertien. »

Michel Le Naour – Cadences no 313 Avril 2018

http://www.cadences.fr/articles/numeros-precedents 

http://fr.1001mags.com/parution/cadences/numero-313-avril-2018/page-28-29-texte-integral

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Le Sablier du temps – Un voyage musical à travers l’âme juive https://www.virginieconstant.fr/sablier-temps-voyage-musical-a-travers-l-ame-juive/ https://www.virginieconstant.fr/sablier-temps-voyage-musical-a-travers-l-ame-juive/#respond Tue, 05 Dec 2017 18:02:31 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=682 L’article Le Sablier du temps – Un voyage musical à travers l’âme juive est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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« Un album courageux, parfaitement composé, exigeant et magistralement réalisé. » Jean-Charles Hoffelé – 10 février 2018 – Artamag’   http://www.artalinna.com/?p=9029

 

Virginie Constant, violoncelle, et Simon Zaoui, piano, avec la participation de Katarzyna Alemany, violoncelle.

La plupart des œuvres retenues pour ce disque ont été écrites dans la première moitié du 20e siècle par des compositeurs à la recherche d’une identité musicale juive, qu’il s’agisse de Ernest Bloch, Lazare Saminsky ou encore Joseph Achron. Certains, tel Gideon Klein en sont tragiquement morts. D’autres enfin, comme Mieczyslaw Weinberg ou Serge Kaufmann, perpétuent leur mémoire.

Aussi, à l’image du sablier dans lequel coule le Temps de l’Histoire et dont nous sommes les grains, ce disque a-t-il pour ambition de nous faire voyager à travers les méandres de l’âme juive dans ce qu’elle a de plus universelle : sa musique !

Pour commander le CD ou écouter des extraits :

https://iemj.org/fr/actualites/publications/cd/le-sablier-du-temps-un-voyage-musical-a-travers-l-ame-juive.html

https://boutique.iemj.org/fr/home/206-le-sablier-du-temps.html

VIOLONCELLE DU DÉSERT

Qui ose ouvrir tout un disque sur le violoncelle voix de la judaïté par la Sonate radicale que Mieczyslaw Weinberg composa en 1960, première d’une série de quatre ? Virginie Constant, qui place en exergue de son disque cet opus enténébré, si exigeant pour son instrument qu’il met à nu. Un album courageux, parfaitement composé, exigeant et magistralement réalisé.

La Sonate de Weinberg est un chef-d’œuvre, c’est entendu, mais très peu courue au disque : je ne la connaissais que sous l’archet de Michal Kanka (Praga), Voix dans le désert d’Ernest Bloch tout autant, partition de prophète au même titre que son alter-ego, Schelomo, autrement fêté par les violoncellistes.

Pour Voix dans le désert, toujours enregistré dans sa mouture orchestrée, Zara Nelsova puis Janos Starker sont demeurés inoubliables ; Virginie Constant grave, je crois bien en première mondiale, la version avec piano solo : les grands interludes que Blochdestine au seul clavier, y résumant tout son orchestre constitueront l’un de ses opus pianistique majeurs, Visions et prophéties. Tout ce qui élargissait le cadre par l’orchestre se résume ici à une parole plus puissante, une musique autrement essentielle que le violoncelle doit porter seul, il faut pouvoir y mettre un sens des atmosphères, une concentration du jeu et un art du verbe que la violoncelliste française possède à plein.

L’album est rendu plus précieux encore par des pièces brèves rarissimes, comme le Conte hébraïque de Lazare SaminskyMatanade Serge Kaufmann ou la terrible Berceuse de Gideon Klein qui referme dans une note tragique ce disque parfait où s’illustre le grand piano de Simon Zaoui.

http://www.artalinna.com/?p=9029

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Bach – Orgelbüchlein https://www.virginieconstant.fr/bach-orgelbuchlein/ https://www.virginieconstant.fr/bach-orgelbuchlein/#respond Mon, 25 Sep 2017 20:44:43 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=420 L’article Bach – Orgelbüchlein est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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« Écoutez O Mensch, bewein dein Sünde gross, et tentez de retenir vos larmes. »  Jean Salmona – Septembre 2017 – Le Rouge et le Jaune (Magazine Polytechnique)

https://www.lajauneetlarouge.com/article/en-meme-temps-melange-de-sons-Bonheur-de-Bach#.WqKi4ujOWUk

 

Le Quatuor PontiCelli, regroupant 4 violoncellistes, se lance dans le pari audacieux de vous proposer leur vision de l’Orguelbüchlein de J.S. Bach.

Lorsqu’il est encore à Weimar, avant 1717 et ses 32 ans, Johann Sebastian Bach, organiste ambitieux, compose l’essentiel de son œuvre pour orgue et religieuse, dont l’Orgelbüchlein (Petit livre d’orgue),  afin de s’assurer le solide répertoire que tout maître de chapelle doit posséder. Les quelques années qu’il passe ensuite à la cour d’Anhalt-Coethen, après un séjour d’un mois en prison pour avoir eu l’impudence d’imposer sa démission de la cour de Weimar, seront celles des œuvres profanes.

Pour les Bach, la plus belle œuvre de Jean Sébastien

Que choisir de plus beau parmi les plus grandes œuvres  de J.S.Bach? Telle fût la délicate mission d’Anna Magdalena, au chevet de son mari, quand celui-ci lui demanda:« Chantez-moi quelque chose de beau »

Anna Magdalena BACH se souvient : « Quelle musique terrestre devions-nous faire sonner à ses oreilles si proches d’entendre celles du ciel? Mais Dieu m’inspira et j’entonnai le choral « Alle Menschen müssen sterben » sur lequel il avait composé un prélude si émouvant pour l’OrgelBuchlein . Comme nous chantions, une grande paix apparut sur le visage de Sébastien. Il était au delà des misères de ce monde. »

 …AU VIOLONCELLE

Les quatre voix humaines du violoncelle ou Le Violoncelle, l’autre instrument de Jean Sébastien BACH

S’il ne jouait pas de Violoncelle, Jean Sébastien Bach “touchait” la Viola d’aspala , sorte de chaînon manquant entre le violoncelle et l’alto mais c’est bien aux clavier des orgues et clavecins que le maître de chapelle excellait. Pour autant,  Jean Sébastien Bach réserva à l’instrument le plus proche de la voix humaine les plus belles pages de son œuvre parmi lesquelles les Six suites pour violoncelle seul.

https://www.musicologie.org/17/l_orgelbuechlein_de_johann_sebastian_bach.html

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Reber – Trois trios (2,4,6) https://www.virginieconstant.fr/reber-trois-trios/ https://www.virginieconstant.fr/reber-trois-trios/#respond Tue, 01 Mar 2016 20:28:36 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=168 L’article Reber – Trois trios (2,4,6) est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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« Superbes trios interprétés de manière parfaite; Reber a le sens des tournures mélodiques, avec toujours cette finesse, cette rythmique, et cette maitrise harmonique qui caractérisent la musique française !  » Musizierlust – 2016

A la suite de l’interprétation très remarquée des trios pour piano 3 ,5 et 7(TIM 1C1205), le trio français « Elégiaque » nous en propose trois autres parmi les sept écrits par le compositeur alsacien Napoléon-Henri Reber (1807- 1880 ). Reber fut l’élève d’Antonin Reicha au Conservatoire de Paris où il enseigna lui-même plus tard l’harmonie et la composition. Ecrits dans la tradition romantique de George Onslow, ses remarquables trios pour piano laissent aussi  apparaître des éléments de Robert Schumann et de Johannes Brahms. Grâce au plaisir qu’éprouvent les trois Français à jouer cette musique , ces trois découvertes du répertoire constituent un réel enrichissement du catalogue.

(Nach seiner vielbeachteten Einspielung der Klaviertrios Nr.3, 5 & 7 (TIM 1C1205) stellt uns das französische Trio Élégiaque drei weitere der insgesamt sieben Klaviertrios des Elsässers Napoléon-Henri Reber (1807-1880) vor. Reber war Schüler von Antonín Reicha am Pariser Conservatoire, an dem er später selbst Harmonielehre und Komposition lehrte. In der romantischen Tradition George Onslows stehend, weisen seine bemerkenswerten Klaviertrios auch Elemente von Robert Schumann und Johannes Brahms auf. Dank der Musizierlust der drei Franzosen werden diese drei Repertoireentdeckungen zu echten Katalogbereicherungen).

 

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Beethoven – Trios avec piano (Intégrale) https://www.virginieconstant.fr/beethoven-trios-avec-piano-integrale/ https://www.virginieconstant.fr/beethoven-trios-avec-piano-integrale/#respond Fri, 01 Nov 2013 22:02:41 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=424 L’article Beethoven – Trios avec piano (Intégrale) est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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**Elu Meilleur disque de l’année 2014 par France Musique** 

« La brillance du jeu vous coupe le souffle ! «  Tom Deacon – 18 janvier 2014 – Blog Parlons piano.

Le trio a existé, sous d’autres formes, bien avant Ludwig van Beethoven a mis la main sur elle. Mais il était le compositeur qui permettrait d’élargir le genre au-delà de toute reconnaissance, en utilisant sa créativité sans relâche à exploiter le trio de piano à son plein potentiel.

Beethoven commence sa transformation du genre – après ses deux premiers trios dans le style de Haydn – avec l’émancipation du violoncelle, ce qui donne une plus grande individualité à chacun des trois instruments. Piano Trio Op.1 prédit No.3 – près de dix ans à l’avance – le heroicism de la période intermédiaire »du compositeur, et Op.70 No.2, écrite en 1808, est apparenté à la musique de sa « période tardive ‘. Il a atteint de nouveaux sommets de dramaticism dans le Trio «fantôme», avec son tremolandi intense, tandis que dans le «Archiduc», il s’affiche la puissance symphonique pure avec laquelle nous nous associons lui.

Les travaux sont réalisés ici par Trio élégiaque, un ensemble de renommée internationale composé de trois artistes multi-primés: Laurent Le Flécher, Virginie Constant et François Dumont.

 

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Reber – Trois trios (3,5,7) https://www.virginieconstant.fr/reber-trois-trios-357/ https://www.virginieconstant.fr/reber-trois-trios-357/#respond Fri, 01 Mar 2013 19:04:47 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=412 L’article Reber – Trois trios (3,5,7) est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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Reber. Un dictionnaire musical irrévérencieux pourrait énoncer : « Compositeur français du xixe siècle. Auteur d’on ne sait plus trop quoi. »

Il est vrai que les enregistrements ne se bousculent pas, qui ont Reber au programme : Récemment, l’une des quatre symphonies, très anciennement… trois Trios pour piano, violon et violoncelle. Nous voilà en bonne compagnie, d’autant que seul un des trois se retrouve sur notre disque.

Ils ont tout pour eux, ces trios. Rien d’académique. Rien de superflu. Tout au contraire, des œuvres toujours inspirées, qui démontrent un romantisme « français », dans la lignée d’Onslow, mais qui trouve aussi ses racines chez Schumann, voire Brahms. Avec cela une écriture impeccable, proche en cela d’un autre français de l’époque, Lalo.

Le Trio Élégiaque fait sensation depuis quelques années. Après un disque de musique contemporaine (Dusapin), il a conquis le public par un autre dédié aux russes. Son intégrale des Trios de Beethoven doit paraître prochainement. Le fait qu’il ait accepté d’emblée de consacrer ses efforts à un CD Reber est le signe qu’il ne s’enferme pas dans le « convenu » : à 100% Timpani.

Trio n° 3
1 – Allegro (11’51)
2 – Adagio cantabile (10’42)
3 – Allegro (7’28)

Trio n° 5
4 – Allegro (8’26)
5 – Andante sostenuto (4’25)
6 – Allegro molto (4’35)

Trio n° 7
7 – Allegro moderato (6’20)
8 – Adagio (8’50)
9 – Scherzo (3’28)
10 – Allegro non troppo (6’20)

Trio Élégiaque
François Dumont piano
Laurent Le Flécher violon
Virginie Constant violoncelle

PRESSE

… Il possède une réelle personnalité sonore? Il ne joue pas « à l’ancienne » mais possède une sonorité à la fois puissante et légère, très homogène, et donne à la musique de reber un élan fluide et raffiné.
Jacques Bonnaure / Classica juillet/août 2013

Très regardant sur la probité de ses interprètes, Reber tombe ici entre les meilleures mains possibles…
Nicolas Derny / Diapason Septembre 2013

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Serge Kaufmann – Souvenirs imaginaires https://www.virginieconstant.fr/serge-kaufmann-souvenirs-imaginaires/ https://www.virginieconstant.fr/serge-kaufmann-souvenirs-imaginaires/#respond Wed, 01 Dec 2010 15:51:04 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=554 L’article Serge Kaufmann – Souvenirs imaginaires est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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« Suite Yiddish » pour violoncelle et guitare
Solistes: Virginie Constant et Benoît Maurel
« Duos pour deux violoncelles »
Solistes: Virginie Constant et Michel Strauss
« Les Enfants du Ghetto » et « Souvenir imaginaire » pour voix, violoncelle , guitare et clarinette
Soliste: Maugiere
« Cantabile », trois chants pour violoncelle, quintette à cordes et clavecin
Soliste: Virginie Constant
« Psalmodies » pour quintette à cordes et clarinette

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Trios Russes https://www.virginieconstant.fr/trios-russes/ https://www.virginieconstant.fr/trios-russes/#respond Wed, 12 May 2010 19:16:48 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=165 L’article Trios Russes est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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** 5 Diapason / Coup de coeur RTL d’Alain Duault **

 

Anton Arenski : Trio pour piano, opus 32
Nikolaï Rimski-Korsakov : Trio pour piano
Serge Rachmaninov : Trio élégiaque n°1

Trio Elégiaque : Laurent Le Flécher (violon), Virginie Constant (violoncelle), François Dumont (piano)
Enregistré en l’église de La Grave (septembre 2009) – 79’35
Triton TRI 331161 (distribué par Intégral)

Après avoir associé Dusapin et Messiaen, le Trio Elégiaque défend un programme qui pourrait par sa durée – presque quatre-vingts minutes – et sa cohérence faire l’objet d’un concert. Intitulé sobrement « Trio russes », ce deuxième album réunit trois œuvres de premier ordre et presque exactement contemporaines.

Laurent Le Flécher, Virginie Constant et François Dumont dévoilent la fraîcheur mendelssohnienne du Trio pour piano (1894) d’Arenski. Leur exécution d’une rare plénitude dévoile des cordes nettes et éloquentes accompagnées par un piano ponctuel et imaginatif. La mise en place, irréprochable, et l’expressivité, exacte, constituent autant d’atouts retrouvés dans le Trio, nettement plus rare, de Rimski-Korsakov (1897), qui a été complété par son gendre et élève Maximilian Steinberg. Virginie Constant chante avec émotion et pudeur le mémorable thème introductif confié au violoncelle. Cette exécution superbement déclamée et pleine de tempérament confirme l’excellence de cette formation qui cultive, en outre, des timbres fort agréables que met en valeur une prise de son spacieuse. Précis dans les échanges et les attaques, le Trio Elégiaque alterne tension et détente de main de maître et concilie fermeté et souplesse sans difficulté. L’entente entre les musiciens se perçoit de nouveau dans le Premier Trio élégiaque (1892) de Rachmaninov, défendu avec tact et un sens des climats particulièrement apprécié. Ce disque produit par un petit label ne devrait pas passer inaperçu et constitue une belle publicité pour ce trio particulièrement accompli.

Sébastien Foucart

Source : http://www.concertonet.com/scripts/cd.php?ID_cd=2094

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Serge Kaufmann – Ima ou la mère dépossédée https://www.virginieconstant.fr/serge-kaufmann-ima-mere-depossedee/ https://www.virginieconstant.fr/serge-kaufmann-ima-mere-depossedee/#respond Sun, 01 Mar 2009 15:53:11 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=557 L’article Serge Kaufmann – Ima ou la mère dépossédée est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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Compositeur, homme de radio et de télévision, journaliste, producteur et réalisateur, Serge Kaufmann occupe une place particulière dans le milieu musical : il a écrit de nombreuses partitions, pages de musique de chambre, symphoniques, concertantes, dramatiques, chorégraphiques et vocales. Serge Kaufmann n’est pas seulement « un compositeur mais un compositeur juif qui nous offre des lambeaux d’une mémoire éclatée dont il se sent l’un des porteurs, comme si ces pages de partition s’enroulaient et devenaient une autre Torah, celle où un Dieu sans nom parle d’une manière lumineuse, qui lui permet précisément d’être entendu dans la nuit » (Alain Duault).

Ce huitième volume de la collection « Patrimoines Musicaux des Juifs de France » présente quatre oeuvres essentielles de Serge Kaufmann : la « Suite Yiddish » dans une version intimiste pour violoncelle et guitare, puis, pour la première fois en CD, le trio à cordes « Memorah », le sublime « Neshama » pour violoncelle solo et enfin la cantate « Ima ou la mère dépossédée », cri de douleur où s’exprime la quintessence de l’art musical du compositeur.

« Suite Yiddish » pour violoncelle et guitare
Solistes : Virginie Constant, violoncelle et Remy Jousselme, guitare
« Memorah » trio pour violon, violoncelle et piano
« Trio Elegiaque » : Laurent Le Flecher, violon, Virginie Constant, violoncelle, François Dumont, piano
« Ima ou la mère dépossédée« , cantate dramatique pour mezzo-soprano, choeur mixte, récitant, piano, violoncelle, clarinette et percussion
Solistes : Christine Labadens, mezzo-soprano, Serge Kaufmann, récitant, Marie-Madeleine Mille, violoncelle, Pierre Bertaud Du Chazaud, clarinette, 
Laure Porte, percussions, Eloise Urbain, piano,  » l’Ensemble Vocal Unité  » sous la direction de Christian Nadalet
« Neshama », chant pour violoncelle seul
Soliste : Suzanne Ramon 

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Piano trios of the 1920s https://www.virginieconstant.fr/piano-trios-of-the-1920s/ https://www.virginieconstant.fr/piano-trios-of-the-1920s/#respond Sat, 01 Mar 2008 22:27:05 +0000 http://www.virginieconstant.fr/?p=213 L’article Piano trios of the 1920s est apparu en premier sur Le site de Virginie Constant.

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Dans sa lettre au compositeur Frank Martin datée du 3 mai 1972, Jean-Claude Piguet écrivait ceci : « Rickert qui est un philosophe allemand, disait aussi qu il y avait trois sortes de philosophes. Les faciles, qui n’ont pas grand chose à dire, les difficiles, qui ont quelque chose à dire mais ont bien de la peine à le dire, et les génies, qui ont quelque chose à dire et le disent simplement. C est dire : il y a les obscurs compliqués ou faciles, peu importe, les clairs qui s expriment de façon obscure, et les clairs qui sont clairs : et ce sont les plus difficiles. » Dans le monde de l’interprétation, le TRIO ÉLEGIAQUE brigue le dernier stade des clairs qui sont clairs avec un jeu des plus difficiles en ce sens qu il distille sa richesse à chaque écoute attentive avec une palette de détails et de nuances sans cesse renouvelée. Cet éloge est d autant plus justifié que cet enregistrement a été réalisé sans aucun montage au moyen d une véritable gravure directe exigeant de nos trois musiciens un sens artistique particulièrement développé et une grande sérénité. Leur performance est un pari sur la musique et non sur la technique ; nous sommes particulièrement fiers de vous la faire partager ! Alfred James www.peyrolerecords.com

 

  1. Trio n° 1 opus 8 (1923)
  2. Trois nocturnes pour piano (1924) – andante
  3. trois nocturnes pour piano (1924) – andante quieto
  4. Trois nocturnes pour piano (1924) – tempestoso

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